Impact de l’infonuagique dans l’enseignement supérieur en Afrique de l’ouest

Abstract [FR]

À l’heure de la transformation numérique, de nouvelles technologies émergent en permanence et redéfinissent les industries, créant de nouvelles activités et de nouveaux modèles économiques. Cette étude visait à mesurer et mieux comprendre les facteurs d’adoption des technologies infonuagiques dans le secteur de l’enseignement en Afrique de l’Ouest et étudier leur évolution dans le temps. Il s’agissait d’une étude causale qui contribue à la recherche dans le domaine de l’infonuagique et qui alimente l’idée sur les activités scientifiques, technologiques et d’innovation selon laquelle une sélection aléatoire de 11 universités de 3 pays de l’Afrique de l’Ouest dont la Côte d’Ivoire, le Burkina Faso ainsi que le Niger a été effectuée. Dans chaque université de ces trois pays, la population cible était composée de 100 étudiants de différentes promotions. Un questionnaire structuré a été administré aux enquêtés afin d’aboutir à nos résultats. Comme résultats, nous avons trouvé que l’adoption de l’infonuagique dans l’enseignement supérieur améliore l’efficacité pédagogique en permettant un accès facile aux ressources éducatives, favorise la collaboration entre les acteurs de l’éducation en simplifiant le partage d’information et de documents, optimise la gestion des ressources en réduisant les coûts liés à l’infrastructure informatique et renforce la sécurité des données grâce aux protocoles de protection mis en place par les fournisseurs de services infonuagiques. En conclusion, l’adoption de l’infonuagique a un impact signifiable dans l’enseignement supérieur sur l’efficacité pédagogique, la collaboration entre les acteurs de l’éducation, la gestion des ressources et la sécurité de données.

 Mots clés : infonuagique, enseignement supérieur, Afrique de l’Ouest.

Titre : Impact de l’infonuagique dans l’enseignement supérieur en Afrique de l’ouest
Auteur(s) : OCHOU ASSI HUGUES HERMANN
E-mail: ochou2005@yahoo.fr
Publié dans   Journal des sciences sociales et de l’ingénierie ,  Volume 35  ,  numéro 4
doi : 10.55272/rufso.rjsse

Télécharger l’article en PDF